Huile: déjà en dessous de 80 $ le baril, c'est une ligne rouge que les pays dépendants du pétrole ne veulent pas voir

Mardi matin, un baril de brut se négociait en dessous de 80 $, une ligne rouge qui n'a pas été violée depuis des mois depuis février de l'année dernière, ce qui fait craindre que le pétrole enveloppé dans des explosifs ne manque de valeur.

Contrairement aux attentes, une attaque sur un terrain de sport dans les hauteurs de Golan occupées par Israélien a tué 12 personnes et a menacé de déclencher une guerre ouverte entre Israël et le Hezbollah, mais il n'a pas inversé le rythme du déclin du pétrole sur le marché.

Alors, qu'est-ce qui a provoqué cette réaction inattendue? La victoire douteuse de Nicolas Maduro au Venezuela (au moins en Occident) n'a pas ce pouvoir, même si le pays a les plus grandes réserves de pétrole au monde, à 300 milliards de barils, car dans une perspective pragmatique, c'est le résultat le plus certain pour Venezuela.
Les analystes du marché continuent de surveiller la situation au Moyen-Orient, car il est logique de le faire, surtout après que le gouvernement israélien a annoncé qu'il faudrait une réponse dévastatrice à une attaque du Hezbollah. Mais le fait que le mouvement chiite, qui a des liens étroits avec l'Iran, a nié la responsabilité du licenciement de la fusée qui a tué 12 enfants druze et jeunes dans les hauteurs de Golan pourrait mettre en doute les raisons des craintes de l'escalade des tensions.